Merci Géraldine de prendre le temps de coucher sur le papier vos nombreuses pensées et introspections.
Il y a trois ans, j'avais suivi votre emménagement et je m'étais questionnée sur cette porte que vous ouvriez alors si largement à votre communauté pour découvrir votre nouveau lieu de vie et votre intérieur.
Je me demandais si ce n'était pas de l'ordre du voyeurisme, de ma part.
C'est le "jeu" des réseaux sociaux, chacun pouvant s'interroger sur ce qu'il y cherche ...et ce qu'il y trouve (quelle partie de sa vie, celui ou celle qui publie donne à voir ? Quelle image souhaite-t-il ou souhaite-t-elle renvoyer ? Et qu'est-cequi est vraiment perçu ?)
Selon le moment de notre vie, nous passons plus ou moins de temps sur ces RS.
Personnellement, je préfère désormais le format des Newsletters comme la vôtre et aussi celui des podcasts.
Bien plus structuré, construit, et amenant une véritable découverte et réflexion.
Et concernant les tenues vestimentaires, il paraît que les grenoblois sont surnommés « les anoraks « ! Alors pour demain , nul besoin de sophistication. 😉
Les Grenoblois, dans leur ensemble, sont surtout intéressés par les activites sportives en extérieur et ils ont un formidable terrain de jeu pour ça, été comme hiver.
J'ai été mutée il y a 30 ans à Grenoble (auparavant à Paris) et hormis certains milieux professionnels (bancaire, mode..), la tenue vestimentaire reste très simple et plutôt confortable.
Bienvenue à Grenoble demain 😀. La ville n’est pas réputée pour son urbanisme et pourtant les quais sont très agréables , les vieilles places également… et que dire des environs si accessibles et dépaysants .
J’espère vous y rencontrer un jour , vos lettres sont si inspirantes. Merci 🙏
Il y a 17 h·modifié Il y a 16 hLiké par Géraldine Dormoy
Depuis 4 ans dans notre maison je me retrouve beaucoup dans ce que tu partages (à la différence que nos travaux ne sont pas terminés...) mais la frénésie de la décoration s'est un peu apaisée et j'ai l'impression que la maison devient ce qu'elle doit être : un lieu chaleureux dans lequel on se sent bien et qui nous correspond et non pas un magazine de décoration. Et pour la tenue: je n'ai jamais été parisienne mais je pense que la différence est surtout liée au au climat et à la différence entre la vie en maison et la vie en appartement 😉
Merci Emilie ! Oui très juste l'aspiration à un lieu chaleureux plutôt qu'à un style tiré d'un magazine de déco. S'y sentir bien, c'est tout ce qui compte. Bon courage pour la fin des travaux :)
En décoration, comme en vie sociale, ou encore en choix vestimentaire il semblerait qu’il y ait comme une sorte de “lâcher prise”, non ? Juste l’écoute de ses besoins, ni plus ni moins.
Merci Géraldine, pour cette newsletter qui m'amène à m'interroger sur mon rapport à notre maison (70 ans, salle de bains à rénover, cela devient nécessaire mais au moins je n'en ai plus honte). C'est souvent ce que j'apprécie dans tes textes : les réflexions que cela amène sur mon mode de vie.
Je comprends bien les frustrations liées à la brièveté de tes passages à Paris. Je ressens ce même type de frustrations dès que nous posons les dates d'un voyage en France. Dès la date de retour fixée, je sais que je vais devoir me limiter, faire des choix. Et aussi nous laisser des espaces de respiration. Et des espaces pour la spontanéité. Cela reste difficile. Chaque voyage en France est pour moi l'occasion de me "recharger" (comme un portable sur une prise rapide). J'ai souvent l'impression d'avoir un pied en France et l'autre en Australie, ce qui rend le grand écart instable. J'en ai pris mon parti.
Ah, et moi aussi j'ai trouvé mes bottines de pluie cet hiver (australien) 😉. Notamment, mais pas seulement, en prévision de notre voyage.
Merci pour ton ressenti Caroline. J’imagine à quel point la frustration doit être décuplée quand on revient d’aussi loin. Je suis sûre que ton degré de conscience te permet de faire les bons choix et de profiter à plein de ces moments forts.
Merci Géraldine de prendre le temps de coucher sur le papier vos nombreuses pensées et introspections.
Il y a trois ans, j'avais suivi votre emménagement et je m'étais questionnée sur cette porte que vous ouvriez alors si largement à votre communauté pour découvrir votre nouveau lieu de vie et votre intérieur.
Je me demandais si ce n'était pas de l'ordre du voyeurisme, de ma part.
C'est le "jeu" des réseaux sociaux, chacun pouvant s'interroger sur ce qu'il y cherche ...et ce qu'il y trouve (quelle partie de sa vie, celui ou celle qui publie donne à voir ? Quelle image souhaite-t-il ou souhaite-t-elle renvoyer ? Et qu'est-cequi est vraiment perçu ?)
Selon le moment de notre vie, nous passons plus ou moins de temps sur ces RS.
Personnellement, je préfère désormais le format des Newsletters comme la vôtre et aussi celui des podcasts.
Bien plus structuré, construit, et amenant une véritable découverte et réflexion.
Belle journée à Grenoble à vous et votre famille.
Merci Françoise, il semblerait que nous soyons en phase 😄
Et concernant les tenues vestimentaires, il paraît que les grenoblois sont surnommés « les anoraks « ! Alors pour demain , nul besoin de sophistication. 😉
Oui je confirme.
Les Grenoblois, dans leur ensemble, sont surtout intéressés par les activites sportives en extérieur et ils ont un formidable terrain de jeu pour ça, été comme hiver.
J'ai été mutée il y a 30 ans à Grenoble (auparavant à Paris) et hormis certains milieux professionnels (bancaire, mode..), la tenue vestimentaire reste très simple et plutôt confortable.
Ça me va 👌🏻
😅
Bienvenue à Grenoble demain 😀. La ville n’est pas réputée pour son urbanisme et pourtant les quais sont très agréables , les vieilles places également… et que dire des environs si accessibles et dépaysants .
J’espère vous y rencontrer un jour , vos lettres sont si inspirantes. Merci 🙏
Merci Béatrice ! Je suis sûre que Grenoble va nous plaire. À bientôt
Super cette petite virée dans ton intérieur . J’aime bcp ces tranches de vie que tu nous confies. Bon we Geraldine 🥰
Merci Elisabeth, bon week-end à toi aussi
Depuis 4 ans dans notre maison je me retrouve beaucoup dans ce que tu partages (à la différence que nos travaux ne sont pas terminés...) mais la frénésie de la décoration s'est un peu apaisée et j'ai l'impression que la maison devient ce qu'elle doit être : un lieu chaleureux dans lequel on se sent bien et qui nous correspond et non pas un magazine de décoration. Et pour la tenue: je n'ai jamais été parisienne mais je pense que la différence est surtout liée au au climat et à la différence entre la vie en maison et la vie en appartement 😉
Merci Emilie ! Oui très juste l'aspiration à un lieu chaleureux plutôt qu'à un style tiré d'un magazine de déco. S'y sentir bien, c'est tout ce qui compte. Bon courage pour la fin des travaux :)
En décoration, comme en vie sociale, ou encore en choix vestimentaire il semblerait qu’il y ait comme une sorte de “lâcher prise”, non ? Juste l’écoute de ses besoins, ni plus ni moins.
Ah le fameux lâcher prise. Oui, il s’accentue avec l’âge, mais je vois plus cela comme un dosage à ajuster 😊
Merci Géraldine, pour cette newsletter qui m'amène à m'interroger sur mon rapport à notre maison (70 ans, salle de bains à rénover, cela devient nécessaire mais au moins je n'en ai plus honte). C'est souvent ce que j'apprécie dans tes textes : les réflexions que cela amène sur mon mode de vie.
Je comprends bien les frustrations liées à la brièveté de tes passages à Paris. Je ressens ce même type de frustrations dès que nous posons les dates d'un voyage en France. Dès la date de retour fixée, je sais que je vais devoir me limiter, faire des choix. Et aussi nous laisser des espaces de respiration. Et des espaces pour la spontanéité. Cela reste difficile. Chaque voyage en France est pour moi l'occasion de me "recharger" (comme un portable sur une prise rapide). J'ai souvent l'impression d'avoir un pied en France et l'autre en Australie, ce qui rend le grand écart instable. J'en ai pris mon parti.
Ah, et moi aussi j'ai trouvé mes bottines de pluie cet hiver (australien) 😉. Notamment, mais pas seulement, en prévision de notre voyage.
Bon week-end !
Merci pour ton ressenti Caroline. J’imagine à quel point la frustration doit être décuplée quand on revient d’aussi loin. Je suis sûre que ton degré de conscience te permet de faire les bons choix et de profiter à plein de ces moments forts.