Cette lettre est le 31e numéro de ma newsletter du dimanche, accessible sur abonnement payant. Vous pouvez la lire, l’écouter ci-dessus ou la découvrir en vidéo, un peu plus bas. À l’occasion de mon anniversaire le 2 avril, l’abonnement annuel est à 48€ au lieu de 60€ jusqu’à mercredi minuit (ou 6€/mois).
J’aime bien aller chercher mes profs de business en Amérique. Mes cours d’école de commerce sont loin. Outre-Atlantique, je puise chez une poignée de personnalités hors normes l’ouverture et le courage dont j’ai besoin pour inventer mon métier.
En matière de marketing, Seth Godin, 64 ans, est incontournable. Ancien entrepreneur dans la tech, il a peu à peu lâché les affaires pour l’écriture et les conférences. Son blog regorge de pensées bien troussées qui donnent de l’élan. Il a écrit tellement d’ouvrages que je ne savais pas lequel choisir, alors je suis allée l’écouter. En janvier, il s’est entretenu avec Tim Ferriss, lui-même référence américaine à la croisée des sphères professionnelle et développement personnel.
Leurs échanges m’ont accompagnée cette semaine. J’ai commencé par les écouter en podcast durant mon run du matin, mais Seth Godin disait tellement de choses que je voulais noter que je me suis refait l’interview en vidéo. J’ai adoré ses lunettes jaunes, son air revenu de tout, sa présence, son art de transmettre des idées à travers anecdotes et images percutantes. J’avais parfois du mal à les suivre (j’ai beau vivre avec un Anglais, je le fais souvent répéter), j’ai donc aussi relu le script de l’interview. J’ai synthétisé ses réflexions les plus marquantes, j’en ai parlé avec Mark, bref j’ai processé. Voici ce que j’en ai retiré.
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