De beaux lendemains

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Adopter la slow productivity

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Le livre de Cal Newport m’a aidée à changer mon rapport au travail.

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Géraldine Dormoy
janv. 12, 2025
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Détail de la couverture du livre Slow Productivity, de Cal Newport - Photo Galina Mitrakova

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Certains auteurs deviennent mes professeurs. Je noue avec eux des liens intimes, connus de moi seule. Je les lis avec dévotion, je projette sur eux mes rêves les plus secrets. Leur enseignement agit comme un phare dans la nuit : leur philosophie éclaire mon chemin, leurs convictions me donnent confiance.

Cal Newport est un de ces professeurs. On lui doit les concepts de deep work (travail profond) et de minimalisme digital, dont je vous ai déjà parlé dans plusieurs de mes ateliers. Son approche rigoureuse et dépouillée du travail m’a permis de construire la mienne. Quand il n’enseigne pas l’informatique à l’université de Georgetown (Washington), cet Américain, marié, père de trois enfants, écrit des ouvrages sur notre rapport aux technologies et à la créativité.

Le dernier, Slow Productivity, est sorti en anglais en mars 2024. J’ai aussitôt commencé à le lire, attirée par la promesse de ralentissement contenue dans le titre. Les trois grands principes qu’il promeut – en faire moins, respecter un rythme naturel, faire de la qualité une obsession – ont mûri en moi.

Cette semaine, je l’ai relu en français – il est paru en novembre aux éditions Alisio. Je me suis régalée. Le fond m’a nourrie, mais il y avait un bénéfice plus immédiat : lire Cal Newport me galvanise. Cela tient aux nombreux exemples sur lesquels il s’appuie, de Galilée à Alanis Morissette en passant par Jane Austen, Benjamin Franklin ou Georgia O’Keeffe. De leur histoire, il tire des conseils pratiques adaptés aux réalités de nos métiers modernes. J’avais envie de les appliquer sur le champ (vous l’aurez compris, ralentir est un défi constant pour moi).

Une précision avant d’entrer dans le vif du sujet : ce livre s’adresse en priorité aux personnes qui disposent d’un degré d’autonomie important dans leur travail : indépendants, solopreneurs, dirigeants, professeurs dans l’enseignement supérieur ou cadres jouissant d’une certaine liberté pour s’organiser. Si vous travaillez dans une structure plus traditionnelle, j’espère toutefois que certains points inspireront des discussions avec votre chef ou votre équipe, sur des évolutions possibles dans vos manières de fonctionner ensemble.

Voici, en cinq points, ce que j’ai retenu du livre.

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