Merci Sandrine. « N’accepter aucune invitation si mon conjoint s’absente pour une soirée » : oh mais quel merveilleux réflexe. Je l’adopte illico (même si Mark ne sort jamais ahah) 😂
Comme je me retrouve Géraldine dans ton besoin de solitude. C'est moi la plus sociable dans notre couple et pourtant, mon mari peine à admettre ce besoin. Nous alternons tous les deux télétravail et bureau, lui essaie de se caler sur les mêmes jours que moi et moi j'esquive en prétextant une réunion pour changer à la dernière minute, dans l'espoir de gagner une journée seule à la maison 😄.
Il la redoute plus que tout pour lui-même, c'est un gros manque de confiance en lui je pense. Avec le temps j'ai réussi à faire passer le message, mais je vois bien qu'il prend sur lui, c'est pourquoi je ruse un peu pour ne le confronter que si c'est vraiment nécessaire pour moi !
Je ressens souvent la même chose. L'envie d'être seule par période, l'envie de connections sociales...je comprends parfaitement ce que tu ressens. J'avoue n'accepter aucune invitation si mon conjoint s'absente pour une soirée. Avoir la maison pour moi toute seule, quel kif ! J'en profite pour te dire ô combien j'apprécie de te lire, tes introspections sont riches d'authenticité et de pertinence. Bonne continuation Géraldine
"je me demande comment une mère de famille peut assouvir son besoin de solitude"
Comme ces mots sonnent juste.... introvertie de nature, je ne suis plus seule depuis que j'ai mes enfants. Et avec un mari extraverti j'ai parfois l'impression de passer pour un alien à vouloir être seule.
Même si je ne pense pas être introverti, tes mots résonnent ! En devenant papa il y a un peu moins de 2 ans, j'ai compris comme la solitude est précieuse. C'est génial de lire ta complicité avec Mark et inspirant. J'essaie d'être ce type de compagnon. J'espère l'être ;)
Comme je te comprends. Je suis pareille, ce fameux "alien", qui a autant besoin de sociabilité que de solitude... Cela peut m'arriver d'être au bord du burn out social si je n'ai pas eu assez de moments seule. Par chance, je n'ai pas d'enfants et un compagnon semblable (voir encore plus extrême!). C'est même parfois lui qui me dit de rester toute seule dans mon coin pour recharger mes batteries!!!
Comme je comprends ce besoin de solitude, je le trouve en allant au cinéma seule , mon cadeau chaque semaine, et je me surprends à en programmer plusieurs selon mon emploi du temps et celui de mes enfants.
Je suis une contemplatrice, j’aime autant le chemin à pied via mon square préfère à regarder les fleurs , les nouvelles pousses des arbres, que de penser au film que je vais voir .
À chaque fois que je ne me sens pas bien c’est que je n’ai pas eu ce temps , c’est aussi beaucoup plus facile car mes enfants sont adolescents et sont plus autonomes.
Tu parviens à identifier la cause de ton mal-être, c’est ce qui me semble essentiel dans ce que tu racontes de ton expérience. Merci ! J’essaie d’aller vers ça moi aussi.
Comme je comprends, je réussi à m’octroyer un temps de solitude chaque jour, indispensable à ma santé mentale. Mes batteries sociales s’épuisent très vite. J’ai quelques facilités pour cela, mes filles ont quitté la maison, je suis salariée et mes boss m’imposent une pause déjeuner de 2h00, j’ai beaucoup beaucoup de chance j’habite à 5kms de mon travail, je ne reste JAMAIS au boulot entre midi, c’est MON moment, celui qui fait que je n’ai pas l’impression de ne faire QUE travailler dans ma journée. Et mon mari a un boulot qui lui impose des déplacements professionnels, depuis toujours je sais que je vais avoir des soirées solo, il sait que je les chéris et surtout il sait que ce n’est pas parce que je ne l’aime plus, il a compris que cela faisait parti de mon équilibre, je crois même que cela fait partie de la longévité de notre mariage (32 ans cet été). J’ai appris à sentir le moment où je dois m’isoler, j’ai appris à quantifier mes capacités à interagir avec les humains, et quand je me choisis, je suis si fière de moi, j’ai mis tellement de temps à apprendre à me choisir. J’ai cette phrase toujours en tête : fais attention quand tu dis oui, à ne pas te dire non à toi-même ! Je te souhaite Géraldine de te choisir chaque fois que nécessaire 🙏🏼🙏🏼
"Oui j'aime être seule". Je l'avoue, je le dis et je l'assume. Ces moments de solitude me permettent d'être beaucoup plus ouvertes aux autres, à ma famille, au monde extérieur. Ma vie professionnelle me fait rencontrer beaucoup de monde, gérer plusieurs casquettes ... résultat : la solitude je l'aime. Je l'impose car elle m'est vitale. Je ne peux pas créer entourée par du monde. Créer, travailler dans un café ou autre : non merci, sans moi ! Mon compagnon le comprend très bien puisqu'il est pareil. Il va aller courir, se mettre dans le jardin. Nous avons un respect mutuel face à ce besoin d'être seul. Personnellement, réussir à dire qu'on a besoin d'être seul(e) est un signe de grande maturité et sagesse. Cela signifie qu'on se connaît, qu'on assume pleinement cette partie de la personnalité. Être sans arrêt avec des gens, prendre en charge les besoins de son entourage, faire la girouette surtout quand on est particulièrement sensible est exhaustif. Alors avant que tout ne dégénère, les moments de solitude sont des alliés. L'équilibre se met en place quand on s'écoute et quand on prend du recul sur les petits signes annonciateurs d'un futur déséquilibre.
Ta lettre ne pouvait pas mieux tomber ! Je suis en plein weekend " all byyyy myseeelf" et bon Dieu que c'est bon ! J'ai deux enfants et un compagnon que j'aime plus que tout au monde et je les aime encore plus quand je reviens de mes escapades bi- annuelles. Deux fois par an , je vais à Paris seule et je ne fais absolument que ce dont j'ai envie et quand j'ai envie. Je flâne dans les expos, je bouquine dans les jardins, je traîne dans les librairies. Le reste de l'année, j'essaie aussi de me ménager des moments seule mais c'est incomparable avec ce temps qui n'appartient qu'à moi pendant 6 petits jours. Mon compagnon comprend tout à fait , ce n'est pas du tout contre eux , j'ai un métier très prenant,avec des adolescents étrangers qui ont toutes sortes de problème et je suis souvent épuisée émotionnellement ( même si c'est eux les 1eres victimes, nous, les enseignants sommes très seuls pour leur venir en aide) et j'ai besoin de ce silence et de ne penser qu'à moi .
Chère Géraldine, comme je te comprend. Ça ne me parle que trop. Depuis janvier, j'ai laissé la machine s'emballer. Je n'ai jamais eu une aussi bonne facturation et professionnellement je suis fière de moi. Mais ma vie sociale ces derniers mois se compte sur les doigts de la main. Anxiété, fatigue, pensées intrusives au quotidien. Ayant grandi à la campagne, j'apprécie la solitude et le grand air, je m'octroie des pauses salutaires le week-end sans voir personne ou presque, au grand dam de mon copain. Je prévoie d'améliorer cela et de prendre du temps pour moi une fois juin passé et son lot d'engagement, j'y travaille avec une spécialiste.
C’est très juste, la solitude pour se recharger en énergie. J’ai la chance depuis quelques mois de pouvoir profiter de ce que j’appelle des « temps tampon » et cela me fait un bien fou!
Merci Géraldine pour tes billets d’humeurs toujours très pertinent 🌸
Une introvertie face à une/des personnes ouvertes et à l’écoute peut devenir parfaitement sociable, voire même prendre un grand kiff quand cela est le cas 🫶🏻
Je lu "goulument" ton écrit, ton ressenti. J'aime beaucoup ce partage très authentique, je m'y retrouve, je comprend tellement. Personnellement, je n'ai pas su dire lorsque j'avais besoin d'être seule, seulement dans l'anticipation de la réaction de l'autre. En verbalisant mon besoin "vital" avec des rondeurs, voir des excuses, je me suis rendue compte que cela générait des incompréhension pour l'autre. Maintenant, j'essaie d'être directe et simple pour l'exprimer. Et c'est souvent bien accueilli. Reste à identifier en amont, le besoin de respirer avant de monter en pression !!! Avec 4 garçons à la maison, il y a encore quelques trous dans la raquette, mais y'a eu du chemin...
Je compatis Amandine ! Avec un seul enfant ce n’est déjà pas simple alors avec 4 garçons 😆 Bon courage, l’essentiel c’est la direction que l’on se choisit 🧡
Je comprends tout à fait, moi qui m’arrangeais pour être le moins possible en télétravail les mêmes jours que mon mari, râlant quand il m’annonçait au dernier moment qu’il travaillait à la maison. Mais depuis début Avril, il est à la retraite… pas évident de s’habituer…
C’est drôle, j’étais loin d’imaginer cette tactique concernant le télétravail, vous êtes plusieurs à m’en parler 😄
Maintenant qu’il est à la retraite, n’est-il pas envisageable d’aborder le sujet tous les deux, afin de trouver ensemble un nouveau mode de fonctionnement ? C’est là aussi une problématique très fréquente (j’ai fait un podcast sur le départ à la retraite 😉).
Quelle chance de pouvoir verbaliser, d'être comprise et de pouvoir en parler ouvertement. Il faut savoir s'écouter pour être à l'écoute des autres. J'en suis persuadée.
Merci Sandrine. « N’accepter aucune invitation si mon conjoint s’absente pour une soirée » : oh mais quel merveilleux réflexe. Je l’adopte illico (même si Mark ne sort jamais ahah) 😂
Comme je me retrouve Géraldine dans ton besoin de solitude. C'est moi la plus sociable dans notre couple et pourtant, mon mari peine à admettre ce besoin. Nous alternons tous les deux télétravail et bureau, lui essaie de se caler sur les mêmes jours que moi et moi j'esquive en prétextant une réunion pour changer à la dernière minute, dans l'espoir de gagner une journée seule à la maison 😄.
Merci Claire pour ton retour d'expérience. Qu'est-ce qui fait que ton compagnon peine à admettre ton besoin de solitude d'après toi ?
Il la redoute plus que tout pour lui-même, c'est un gros manque de confiance en lui je pense. Avec le temps j'ai réussi à faire passer le message, mais je vois bien qu'il prend sur lui, c'est pourquoi je ruse un peu pour ne le confronter que si c'est vraiment nécessaire pour moi !
Bon courage 🧡
Je ressens souvent la même chose. L'envie d'être seule par période, l'envie de connections sociales...je comprends parfaitement ce que tu ressens. J'avoue n'accepter aucune invitation si mon conjoint s'absente pour une soirée. Avoir la maison pour moi toute seule, quel kif ! J'en profite pour te dire ô combien j'apprécie de te lire, tes introspections sont riches d'authenticité et de pertinence. Bonne continuation Géraldine
"je me demande comment une mère de famille peut assouvir son besoin de solitude"
Comme ces mots sonnent juste.... introvertie de nature, je ne suis plus seule depuis que j'ai mes enfants. Et avec un mari extraverti j'ai parfois l'impression de passer pour un alien à vouloir être seule.
Eh bien non, vous n’êtes pas seule Christèle. Nous sommes si nombreuses à ressentir la même chose que j’en déduis que vous n’êtes pas un alien 😅
Même si je ne pense pas être introverti, tes mots résonnent ! En devenant papa il y a un peu moins de 2 ans, j'ai compris comme la solitude est précieuse. C'est génial de lire ta complicité avec Mark et inspirant. J'essaie d'être ce type de compagnon. J'espère l'être ;)
L’intention compte plus que le résultat 😊
Comme je te comprends. Je suis pareille, ce fameux "alien", qui a autant besoin de sociabilité que de solitude... Cela peut m'arriver d'être au bord du burn out social si je n'ai pas eu assez de moments seule. Par chance, je n'ai pas d'enfants et un compagnon semblable (voir encore plus extrême!). C'est même parfois lui qui me dit de rester toute seule dans mon coin pour recharger mes batteries!!!
J’aime bien ton expression de « burn-out social » Célia 😄😘
Comme je comprends ce besoin de solitude, je le trouve en allant au cinéma seule , mon cadeau chaque semaine, et je me surprends à en programmer plusieurs selon mon emploi du temps et celui de mes enfants.
Je suis une contemplatrice, j’aime autant le chemin à pied via mon square préfère à regarder les fleurs , les nouvelles pousses des arbres, que de penser au film que je vais voir .
À chaque fois que je ne me sens pas bien c’est que je n’ai pas eu ce temps , c’est aussi beaucoup plus facile car mes enfants sont adolescents et sont plus autonomes.
Tu parviens à identifier la cause de ton mal-être, c’est ce qui me semble essentiel dans ce que tu racontes de ton expérience. Merci ! J’essaie d’aller vers ça moi aussi.
Comme je comprends, je réussi à m’octroyer un temps de solitude chaque jour, indispensable à ma santé mentale. Mes batteries sociales s’épuisent très vite. J’ai quelques facilités pour cela, mes filles ont quitté la maison, je suis salariée et mes boss m’imposent une pause déjeuner de 2h00, j’ai beaucoup beaucoup de chance j’habite à 5kms de mon travail, je ne reste JAMAIS au boulot entre midi, c’est MON moment, celui qui fait que je n’ai pas l’impression de ne faire QUE travailler dans ma journée. Et mon mari a un boulot qui lui impose des déplacements professionnels, depuis toujours je sais que je vais avoir des soirées solo, il sait que je les chéris et surtout il sait que ce n’est pas parce que je ne l’aime plus, il a compris que cela faisait parti de mon équilibre, je crois même que cela fait partie de la longévité de notre mariage (32 ans cet été). J’ai appris à sentir le moment où je dois m’isoler, j’ai appris à quantifier mes capacités à interagir avec les humains, et quand je me choisis, je suis si fière de moi, j’ai mis tellement de temps à apprendre à me choisir. J’ai cette phrase toujours en tête : fais attention quand tu dis oui, à ne pas te dire non à toi-même ! Je te souhaite Géraldine de te choisir chaque fois que nécessaire 🙏🏼🙏🏼
Quelle sagesse dans tes mots, merci Cécilia d’avoir pris le temps de nous écrire tout cela.
"Oui j'aime être seule". Je l'avoue, je le dis et je l'assume. Ces moments de solitude me permettent d'être beaucoup plus ouvertes aux autres, à ma famille, au monde extérieur. Ma vie professionnelle me fait rencontrer beaucoup de monde, gérer plusieurs casquettes ... résultat : la solitude je l'aime. Je l'impose car elle m'est vitale. Je ne peux pas créer entourée par du monde. Créer, travailler dans un café ou autre : non merci, sans moi ! Mon compagnon le comprend très bien puisqu'il est pareil. Il va aller courir, se mettre dans le jardin. Nous avons un respect mutuel face à ce besoin d'être seul. Personnellement, réussir à dire qu'on a besoin d'être seul(e) est un signe de grande maturité et sagesse. Cela signifie qu'on se connaît, qu'on assume pleinement cette partie de la personnalité. Être sans arrêt avec des gens, prendre en charge les besoins de son entourage, faire la girouette surtout quand on est particulièrement sensible est exhaustif. Alors avant que tout ne dégénère, les moments de solitude sont des alliés. L'équilibre se met en place quand on s'écoute et quand on prend du recul sur les petits signes annonciateurs d'un futur déséquilibre.
Merci Anja pour ton retour d’expérience et tes réflexions 🧡
Ta lettre ne pouvait pas mieux tomber ! Je suis en plein weekend " all byyyy myseeelf" et bon Dieu que c'est bon ! J'ai deux enfants et un compagnon que j'aime plus que tout au monde et je les aime encore plus quand je reviens de mes escapades bi- annuelles. Deux fois par an , je vais à Paris seule et je ne fais absolument que ce dont j'ai envie et quand j'ai envie. Je flâne dans les expos, je bouquine dans les jardins, je traîne dans les librairies. Le reste de l'année, j'essaie aussi de me ménager des moments seule mais c'est incomparable avec ce temps qui n'appartient qu'à moi pendant 6 petits jours. Mon compagnon comprend tout à fait , ce n'est pas du tout contre eux , j'ai un métier très prenant,avec des adolescents étrangers qui ont toutes sortes de problème et je suis souvent épuisée émotionnellement ( même si c'est eux les 1eres victimes, nous, les enseignants sommes très seuls pour leur venir en aide) et j'ai besoin de ce silence et de ne penser qu'à moi .
Bravo d’avoir trouvé ton rythme et de respecter tes besoins !
Chère Géraldine, comme je te comprend. Ça ne me parle que trop. Depuis janvier, j'ai laissé la machine s'emballer. Je n'ai jamais eu une aussi bonne facturation et professionnellement je suis fière de moi. Mais ma vie sociale ces derniers mois se compte sur les doigts de la main. Anxiété, fatigue, pensées intrusives au quotidien. Ayant grandi à la campagne, j'apprécie la solitude et le grand air, je m'octroie des pauses salutaires le week-end sans voir personne ou presque, au grand dam de mon copain. Je prévoie d'améliorer cela et de prendre du temps pour moi une fois juin passé et son lot d'engagement, j'y travaille avec une spécialiste.
On ne peut pas être partout. Le tout est de parvenir à rééquilibrer à temps. Bravo pour ton activité et bon courage 😊
C’est très juste, la solitude pour se recharger en énergie. J’ai la chance depuis quelques mois de pouvoir profiter de ce que j’appelle des « temps tampon » et cela me fait un bien fou!
Merci Géraldine pour tes billets d’humeurs toujours très pertinent 🌸
C’est quoi des « temps tampons » ?
Ce sont des temps où je m’arrête plus ou moins longtemps et de
Préférence seule, avant de passer à autre chose.
Voilà
J'aime bien cette expression, je crois que je vais l'adopter, merci Karima ! J'ai moi aussi grand besoin de "temps tampons".
Je ne comprends pas comment on peut être à la fois introvertie et sociable
Je me le suis longtemps demandé 😅 ce sont des oscillations, j’ai besoin des deux : par moments être seule, par moments voir du monde.
Une introvertie face à une/des personnes ouvertes et à l’écoute peut devenir parfaitement sociable, voire même prendre un grand kiff quand cela est le cas 🫶🏻
Très vrai
Introverti ne veut absolument pas dire pas sociable. Tu peux lire Julien prest (introverti epanoui) sur Facebook pour en savoir plus.
Merci pour ta reco de Julien Prest, je viens donc de m’inscrire à sa newsletter 😃
Il m'a énormément aidée en écoutant ses formations à comprendre et accepter ma nature introvertie.
Sa newsletter quotidienne m'a vite étouffée. Si tu as un "point d'entrée" à me recommander je suis preneuse (texte, podcast, article ?). Merci !
J'ai écrit une longue réponse qui n'a pas voulu partir. je ne sais pas si on est limité en caractères.
Je lu "goulument" ton écrit, ton ressenti. J'aime beaucoup ce partage très authentique, je m'y retrouve, je comprend tellement. Personnellement, je n'ai pas su dire lorsque j'avais besoin d'être seule, seulement dans l'anticipation de la réaction de l'autre. En verbalisant mon besoin "vital" avec des rondeurs, voir des excuses, je me suis rendue compte que cela générait des incompréhension pour l'autre. Maintenant, j'essaie d'être directe et simple pour l'exprimer. Et c'est souvent bien accueilli. Reste à identifier en amont, le besoin de respirer avant de monter en pression !!! Avec 4 garçons à la maison, il y a encore quelques trous dans la raquette, mais y'a eu du chemin...
Merci beaucoup :-)
Je compatis Amandine ! Avec un seul enfant ce n’est déjà pas simple alors avec 4 garçons 😆 Bon courage, l’essentiel c’est la direction que l’on se choisit 🧡
Je comprends tout à fait, moi qui m’arrangeais pour être le moins possible en télétravail les mêmes jours que mon mari, râlant quand il m’annonçait au dernier moment qu’il travaillait à la maison. Mais depuis début Avril, il est à la retraite… pas évident de s’habituer…
C’est drôle, j’étais loin d’imaginer cette tactique concernant le télétravail, vous êtes plusieurs à m’en parler 😄
Maintenant qu’il est à la retraite, n’est-il pas envisageable d’aborder le sujet tous les deux, afin de trouver ensemble un nouveau mode de fonctionnement ? C’est là aussi une problématique très fréquente (j’ai fait un podcast sur le départ à la retraite 😉).
Quelle chance de pouvoir verbaliser, d'être comprise et de pouvoir en parler ouvertement. Il faut savoir s'écouter pour être à l'écoute des autres. J'en suis persuadée.
Verbaliser mes émotions m’a pris des dizaines d’années, et beaucoup d’efforts. Mais quel pouvoir cela donne !