J'ai aussi écouté Nicolas Hennion car j'avais beaucoup aimé sa première interview sur GDIY. Super intéressant et en même temps, je m'interroge sur tous ces concepts : Ikigai, zone de génie, mission de vie, raison d'être, trouver son "why"... Je pense qu'il y a un effet de mode et qu'il faut prendre de la distance. Ça peut être assez angoissant, voire "démoralisant", pour qui n'a pas de passion avec un grand P, n'arrive pas à définir sa zone de génie, etc. Je me suis parfois sentie "paumée" et un peu paralysée dans mon activité entrepreneuriale par ces injonctions à trouver ma zone de génie ou mon Why. Mais ce qu'on ne peut pas leur retirer, c'est que tous ces concepts nous font réfléchir en profondeur et peuvent aider à mieux se connaître. Un peu d'introspection ne fait jamais de mal ;) Le tout, c'est de ne pas se démotiver si certaines questions restent sans réponse !
Bonjour Géraldine, J’utilisais souvent ces 4 zones sous forme de matrice, avec les personnes que j’accompagnais en création d’entreprise. Je les tenais de Christine Lewicki qui a popularisé le concept en France. En te lisant, et parce que tu as tout de suite identifié (enfin, Mark !) ta zone de génie dans la manière si spéciale (et unique) dont tu rassembles et fédères ta communauté, cela ne paraît pas choquant ni contradictoire que l’écriture soit ta zone d’excellence. Ce n’est pas dénigrant. J’y vois comme un moyen pour toi de trouver, rassembler, fédérer, nourrir ta communauté 🙂
Alors de là, à envisager de faire autre chose que l’écriture, parce que c'est difficile, bah non. Pauvre de nous ! Chacune sa croix comme on dit, mais si c’est ta raison de vivre, ce n’est pas comme si tu avais le choix, et heureusement pour nous, parce que tu le fais excellemment bien 🤍🤍🤍
Je travaille depuis plusieurs années avec Chine Lanzmann, une coach dédiée à l’empowerment des femmes. J’ai découvert le concept avec elle et je suis ravie que tu t’y intéresse à ton tour. Cela nous promet de beaux contenus à venir.
C’est amusant les synchronicités : j’ai justement travaillé sur les 4 zones lundi ! Pour moi pas de mystère : l’écriture est aussi naturelle pour moi que respirer, c’est ce qui me donne mon énergie ! Cela dit je pense qu’être dans sa zone d’excellence et qu’il ne faut pas renoncer à quelque chose qu’on aime et où on est bon, même si cela nous prend de l’énergie ce n’est pas très grave à condition de se nourrir ailleurs ! Par exemple moi je crains fort de ne jamais arriver à vivre pleinement de l’écriture et j’aimerais trouver un métier où je suis dans ma zone d’excellence (et non comme actuellement juste dans ma zone de compétence).
Bon comme souvent tu m’as donné envie de creuser dans un article 🤭
Depuis que j'enseigne, c'est une question qui m'occupe beaucoup, le rapport au stress et au coût d'énergie... Je n'ai pas (encore) trouvé de réponse. Car j'ai énormément de plaisir, mais j'angoisse et ça me fatigue aussi beaucoup... Pour l'instant, je me dis que je suis comme une artiste qui fait un spectacle: j'ai le trac avant, et je suis fatiguée après! Est-ce que c'est mal? Est-ce que c'est viable à long terme? Je ne sais pas (encore)!
Si intéressant !!! J’ai depuis longtemps arrêté de faire de l’écriture ma source de revenus financiers principal - mais je continue à écrire professionnellement, seulement pour des projets très choisis. Plus d’équilibre comme ça ..
"l'écriture est hors zone", j'adore ! tous ces modèles nous aident à des prises de conscience à des découvertes sur nous même et laissent la place au mystère, au singulier, à ce qui nous dépasse. Merci pour ce coup de lumière sur nos zones de génie et tous nos hors zone.
Je n’avais jamais entendu parler de cette zone de génie. Merci pour ce nouveau sujet de réflexion et bravo pour la fluidité élégante de votre écriture.
Hello Géraldine,
J'ai aussi écouté Nicolas Hennion car j'avais beaucoup aimé sa première interview sur GDIY. Super intéressant et en même temps, je m'interroge sur tous ces concepts : Ikigai, zone de génie, mission de vie, raison d'être, trouver son "why"... Je pense qu'il y a un effet de mode et qu'il faut prendre de la distance. Ça peut être assez angoissant, voire "démoralisant", pour qui n'a pas de passion avec un grand P, n'arrive pas à définir sa zone de génie, etc. Je me suis parfois sentie "paumée" et un peu paralysée dans mon activité entrepreneuriale par ces injonctions à trouver ma zone de génie ou mon Why. Mais ce qu'on ne peut pas leur retirer, c'est que tous ces concepts nous font réfléchir en profondeur et peuvent aider à mieux se connaître. Un peu d'introspection ne fait jamais de mal ;) Le tout, c'est de ne pas se démotiver si certaines questions restent sans réponse !
Bonjour Géraldine, J’utilisais souvent ces 4 zones sous forme de matrice, avec les personnes que j’accompagnais en création d’entreprise. Je les tenais de Christine Lewicki qui a popularisé le concept en France. En te lisant, et parce que tu as tout de suite identifié (enfin, Mark !) ta zone de génie dans la manière si spéciale (et unique) dont tu rassembles et fédères ta communauté, cela ne paraît pas choquant ni contradictoire que l’écriture soit ta zone d’excellence. Ce n’est pas dénigrant. J’y vois comme un moyen pour toi de trouver, rassembler, fédérer, nourrir ta communauté 🙂
Alors de là, à envisager de faire autre chose que l’écriture, parce que c'est difficile, bah non. Pauvre de nous ! Chacune sa croix comme on dit, mais si c’est ta raison de vivre, ce n’est pas comme si tu avais le choix, et heureusement pour nous, parce que tu le fais excellemment bien 🤍🤍🤍
Je travaille depuis plusieurs années avec Chine Lanzmann, une coach dédiée à l’empowerment des femmes. J’ai découvert le concept avec elle et je suis ravie que tu t’y intéresse à ton tour. Cela nous promet de beaux contenus à venir.
Bon week-end Geraldine.
C’est amusant les synchronicités : j’ai justement travaillé sur les 4 zones lundi ! Pour moi pas de mystère : l’écriture est aussi naturelle pour moi que respirer, c’est ce qui me donne mon énergie ! Cela dit je pense qu’être dans sa zone d’excellence et qu’il ne faut pas renoncer à quelque chose qu’on aime et où on est bon, même si cela nous prend de l’énergie ce n’est pas très grave à condition de se nourrir ailleurs ! Par exemple moi je crains fort de ne jamais arriver à vivre pleinement de l’écriture et j’aimerais trouver un métier où je suis dans ma zone d’excellence (et non comme actuellement juste dans ma zone de compétence).
Bon comme souvent tu m’as donné envie de creuser dans un article 🤭
"plus comme autrice"... et moi qui espérais lire un troisième ouvrage de toi (ayant beaucoup aimé les deux premiers)...
Bon weekend chère Géraldine et à bientôt,
Christiane
Depuis que j'enseigne, c'est une question qui m'occupe beaucoup, le rapport au stress et au coût d'énergie... Je n'ai pas (encore) trouvé de réponse. Car j'ai énormément de plaisir, mais j'angoisse et ça me fatigue aussi beaucoup... Pour l'instant, je me dis que je suis comme une artiste qui fait un spectacle: j'ai le trac avant, et je suis fatiguée après! Est-ce que c'est mal? Est-ce que c'est viable à long terme? Je ne sais pas (encore)!
Si intéressant !!! J’ai depuis longtemps arrêté de faire de l’écriture ma source de revenus financiers principal - mais je continue à écrire professionnellement, seulement pour des projets très choisis. Plus d’équilibre comme ça ..
"l'écriture est hors zone", j'adore ! tous ces modèles nous aident à des prises de conscience à des découvertes sur nous même et laissent la place au mystère, au singulier, à ce qui nous dépasse. Merci pour ce coup de lumière sur nos zones de génie et tous nos hors zone.
Whaou, c'est super intéressant. Je n'avais jamais entendu parlé de ce concept qui mérite réflexion.
Je n’avais jamais entendu parler de cette zone de génie. Merci pour ce nouveau sujet de réflexion et bravo pour la fluidité élégante de votre écriture.
Bonsoir Geraldine
Excellent sujet !
Mon petit cerveau agile et curieux s’est déjà emparé du sujet !
À suivre !