Pas si facile d'être une femme détendue
Heureusement il y a Elizabeth Gilbert et Valeria Bruni Tedeschi.
Cette lettre est le 27e numéro de ma newsletter du dimanche, accessible sur abonnement payant (6€/mois archives comprises, 5€ avec la formule annuelle). Vous pouvez la lire, l’écouter ci-dessus ou la découvrir en vidéo, un peu plus bas. Pour un confort optimal, je vous recommande de le faire via l’appli Substack.
En ce moment, parmi mes nombreuses obsessions, il y a celle de la femme détendue.
Tout a commencé l’automne dernier. Elizabeth Gilbert, l’autrice de Mange, prie, aime, était l’invitée du podcast de Tim Ferriss. L’écrivaine y livre sa philosophie de vie avec humour et franchise, si vous comprenez bien l’anglais, allez l’écouter ou la regarder. Une de ses idées, en particulier, est venue se ficher dans ma tête sans que, sur le moment, je sache quoi en penser : son concept de la « relaxed woman », la femme détendue.
Continuez votre lecture avec un essai gratuit de 7 jours
Abonnez-vous à De beaux lendemains pour continuer à lire ce post et obtenir 7 jours d'accès gratuit aux archives complètes des posts.