De beaux lendemains

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En apesanteur

Une envie de flotter à l’écart du monde.

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Géraldine Dormoy
juin 08, 2025
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Owen Wilson sur le tournage d’À bord du Darjeeling Limited - Photo James Hamilton

J’ai un rapport ambivalent avec Wes Anderson. La Famille Tennenbaum est un de mes films cultes. J’en aime les personnages fantasques, l’atmosphère hors du temps, la musique enveloppante, les costumes signatures. Avec Mark, tous les ans, on le regarde à Noël. La mélancolie qu’il dégage s’accorde à celle de la période des fêtes.

Le seul problème, c’est que j’ai eu un tel coup de foudre pour La Famille Tennenbaum, que les films suivants de Wes m’ont déçue. J’ai bien aimé La Vie aquatique, À bord du Darjeeling Limited, The Grand Budapest Hotel, mais je ne leur ai pas trouvé le même degré de subtilité, de délicatesse et de charme.

L’expo Wes Anderson à la Cinémathèque de Paris ne m’attire pas, j’ai l’impression de ne pas être assez fan pour y trouver un intérêt. En revanche, j’ai craqué pour le catalogue de l’expo, Les Archives. Plusieurs proches du réalisateur y sont interviewés, dont Roman Coppola (frère de Sofia), qui l’a aidé à écrire certains scénarios.

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